Je rédige à la demande
www.lili-ecritures.com
Je fais comme on me demande
www.lili-ecritures.com
Je devance la demande
www.lili-ecritures.com
Traduction littéraire
www.lili-ecritures.com
Les coccinelles grises
Mona Yahia
Lauréat du Jugendbuchpreis et du Jewish quaterly Wingate prize
Editions de l’Archipel, 2006
Traduction / adaptation
www.lili-ecritures.com
Mythes et réalités des conflits du Proche-Orient
Mitchell G. Bard
Editions Raphaël, 2003
Ateliers d’écriture
www.lili-ecritures.com
« Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement », proclamait Boileau à une époque où l’on exigeait des directions de la communication qu’elles fassent des miracles, mais pas encore des prodiges…
Faire beaucoup plus avec beaucoup moins
Aujourd’hui, le quotidien des directeurs/trices de la communication ressemble à des travaux d’Hercule ou à une Odyssée sans navire, sans personnel et sans budget. Ou avec si peu de l’un et des autres…
La seule chose dont la quantité ne diminue pas, c’est le lot des contraintes.
Les dirigeants, qui passent un temps considérable à réduire les dépenses, « découvrent » avec délectation que la communication est une aptitude naturelle. Depuis que le bébé est une personne, on sait qu’il communique. Et à sept ans, à la fin du CP, il sait écrire. Alors pourquoi s’adresser à des professionnels quand n’importe quelle secrétaire doit pouvoir rédiger le journal interne ?
L’écriture, c’est comme la marche à pied !
Tout le monde marche (« sauf les culs-de-jatte », chantait Brassens) et tout le monde parle (« sauf les muets », dixit le même).
Mais il y a aussi loin de la parole à la communication que des premiers pas de Bébé à la victoire du marathon de Paris. Car « sans technique, un don n’est rien qu’une sale manie » et si un minimum de talent est indispensable, il ne peut s’épanouir que dans le cadre rigoureux d’une méthode.
On n’écrit pas comme on parle, on calibre le fond selon le média et la forme diffère totalement pour un support papier et pour une lecture sur écran.
Synthétiser, simplifier mais informer… l’écran a des raisons que la page imprimée ne connaît pas. Phrases courtes, titres, intertitres, illustrations : ce qui se conçoit bien s’énonce différemment et les mots pour le dire n’arrivent pas aussi aisément qu’on le souhaiterait.